Les directeurs de conscience qui critiquent des Mauritaniens pour leurs bonnes impressions du président Aziz les prennent pour leurs obligés ou leurs esclaves. Ces critiqueurs, sont pourtant ceux-là même, qui ont signé en juin 2009 l’Accord de Dakar avec Aziz, non...
...sans avoir entrainé auparavant des crédules dans une cabale au service des intérêts égoïstes et carriéristes, de quelques politiciens à 2 francs CFA.
Les critiqués ne peuvent plus être entraînés dans une logique qui ne réponde pas à leurs aspirations pour un pays développé, fort et juste. Surtout qu’ils se sentent piétinés et floués depuis 30 ans. Depuis le PPM, les SEM, le PRDS, les pseudo indépendants, ADIL et l’UPR. Et se sentent toujours marginalisés malgré la "Rectification" du 6 Aout qui a apporté beaucoup au pays et peu aux égos. Les Mauritaniens ont rompu avec les chapelles classiques et croient au Président Aziz parce qu’ils voient qu’ils ont un chef d’Etat qui veut établir un lien direct avec le Peuple, qui ne veut pas s’en remettre à des cercles de "saffagues" éternels et de loups voraces. Que la Mauritanie peut maintenant financer son developpement sur ses fonds propres. Et que les anarchistes savent qu’ils ont en face d’eux un homme de poigne. Tout ceci est intéressant dans ce contexte où les faux soutiens ont été démasqués en s’évaporant come de la fumée avec l’incident de "Touila" et avec cette arnaque d’une opposition dialoguiste qui cherche à maintenir un statu-quo favorable à ses visions infantiles et figées. Bien que fortement critiqué et à juste titre parfois, Aziz aura tout de même, secoué un cocotier planté depuis des décennies d’incurie et d’errements. IOM
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