Le conseil des ministres prévu le mercredi 18 janvier ne s’est réuni que le jeudi 19 janvier. Deux raisons expliquent ce retard. L’harmonisation de la position du gouvernement face au scandale des avenants (rupture ou renégociation) ainsi que la constitution des structures déconcentrées de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) sur toute l’étendue du territoire national. Le tout, sur fond de supputations, sur la formation d’un nouveau gouvernement dirigé par un jeune technocrate qui appartiendrait à l’opposition qui était en exil du temps de Ould Taya.
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