Le commandement militaire français dit avoir tué le 7 juillet 2015 à Kidal (Mali) Ali Ag Wadossene et avoir capturé deux autres jihadistes non identifiés. Ag Wadossene, son frère, ainsi qu'un Tunisien et un Sahraoui ont tous été tirés des prisons maliennes en décembre 2014 dans l’échange avec le dernier otage français Serge Lazarevic qui dit aujourd’hui préférer sa situation en captivité à celle vécue après sa libération .
. Les nigériens ont également été appelés à contribution et ont fait sortir de leur geôles trois jihadistes dans le cadre du même échange qui n 'est pas sans rappeler celui de 2010 quand Sarkozy avait obligé ATT à élargir -suite à un simulacre de procès- 4 dangereux jihadistes pour faire libérer l'ex-otage Pierre Camatte.
Certains chefs d'Etat africains ne peuvent rien refuser à la France!
Mais même si Ag Wadossene a été tué, il reste quand même son frère (qui avait kidnappé avec lui Lazarevic et Verdon) et ses 5 autres comparses.
Sa neutralisation annoncée tombe à pic, on dirait, pour IBK qui n' était pas content de sa libération ainsi que pour les militaires français dont la réputation est entachée à Bangui et Ouaga par des affaires de pédophilie et d’agressions sexuelles, tout comme pour la France avec la disparition d'un stock de munitions et d'explosifs à Miramas (Marseille), stock destiné dit-on, aux "OPEX" (opérations extérieures) généralement du ressort de la "DGSE" et des "FS".
IOMS
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