Session de formation en matière d'intégration de la dimension du changement climatique   
03/08/2016

Les travaux d’une session de formation en matière d’intégration de la dimension changement climatique dans les plans de développement de la zone côtière ont débuté mardi à Nouakchott au profit des secteurs gouvernementaux ...



... intervenant dans le domaine de la gestion du littoral.

 La session qui est organisée par le ministère de l’environnement et du développement durable en collaboration avec l’Agence de coopération internationale allemande (GIZ) et qui s’inscrit dans le cadre des activités du projet "adaptation des villes côtières aux changements climatiques porte sur plusieurs axes relatifs à l’intégration de la dimension du changement climatique dans les plans de développement en Mauritanie.

 Dans un mot prononcé pour la circonstance, le secrétaire général du ministère de l’environnement et du développement durable, M. Madi Ould Taleb a indiqué que la sécheresse et l’agrandissement des villes côtières et leur intégration dans l’économie mondiale ont conduit depuis les années 70 à l’émergence d’importantes activités et à une urbanisation accentuée sur le littoral.

 Il a en outre noté que la ville de Nouakchott que les experts qualifient de point de rencontre entre les répercussions du changement climatique, car étant construite à un niveau plus bas que celui de la mer, est exposée aux répercussions des changements climatiques.

 Il a ajouté que le projet " adaptation des villes côtières au changement climatique", financé par la République Fédérale d’Allemagne, a pour but de renforcer les capacités des différents intervenants concernés par la gestion du littoral et sa zone côtière et de mettre en place les outils et les expériences pilotes en matière d’adaptation des villes côtières au changement climatique.

 Il a précisé que le projet a fait plusieurs interventions dont la fixation de plus de 4 kilomètres de dunes de sable et le colmatage de brèches dangereuses au niveau de la plage de Nouakchott.

 Pour sa part, le représentant de la GIZ, M. Clauss Mersmane a indiqué que cette formation veut laisser des traces et des impacts durable avant la fin de ce projet dans six mois.

 Il a en outre insisté sur la nécessité de la durabilité des efforts déployés lors de la durée de sa mise en oeuvre depuis 2012.

 Le représentant a enfin invité les participants à profiter de cette formation, de nature, a-t-il dit, à permettre de "capitaliser les acquis que nous avons accumulés ensemble depuis maintenant 4 ans".











AMI


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