Les travaux d’un atelier de formation sur les mécanismes internationaux de protection des droits de l’homme, organisé par le commissariat aux droits de l’homme et à l’action humanitaire à l’intention des journalistes représentant les organes de la presse nationale, ont été ...
... ouverts mercredi à Nouakchott. L’atelier vise à augmenter l’éveil des journalistes ainsi qu’à les édifier sur les différents mécanismes internationaux de protection des droits de l’homme, la mise en exergue du rôle permettant à la presse de défendre et de vulgariser les droits de l’homme entre les différentes franges de société afin de renforcer la cohésion sociale. Le commissaire aux droits de l’homme et à l’action humanitaire, M. Cheikh Tourad Ould Abdel Malick, a indiqué à cette occasion que les exposés inscrits au programme de cet atelier, auront un impact positif sur le renforcement des capacités des participants, soulignant aussi qu’ils serviront de moyen pour éclairer les médias sur les mécanismes précités. La création d’un réseau de journalistes spécialisés dans le domaine des droits de l’homme qui sera mis en place au cours de cet atelier contribuera au renforcement de l’Etat de droit et des institutions, a-t-il dit, promettant le soutien du commissariat à ce réseau pour mener à bien sa mission. Le Président de la République Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a très tôt compris le rôle pivot joué par la presse nationale dans les différents domaines de développement, oeuvrant à lui créer toutes les conditions favorables à son épanouissement, a-t-il dit. Le Commissaire a souligné aussi l’organisation future d’une série de formations au profit des journalistes nationaux, destinées à enseigner la culture des droits de l’homme ainsi qu’à informer l’opinion publique nationale et internationale sur ce qui se passe dans le pays comme acquis importants en ce domaine. La cérémonie s’est déroulée en présence du ministre des relations avec le parlement et de la société civile et de la ministre secrétaire générale du gouvernement ainsi que de la présidente de la commission nationale des droits de l’homme, du commissaire adjoint aux droits de l’homme et du conseiller du Premier ministre chargé des droits de l’homme.
AMI
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