Des policiers ont interpellé le mercredi matin 5 mai, des dizaines de travailleurs manuels qui chargent et déchargent les camions dans la rue commerçante dénommée «chari é Erizgh». Ces travailleurs avaient repris leur mouvement de protestation entamée deux jours auparavant pour exiger la hausse du prix du chargement/déchargement
de la tonne de 500 Um à 1000 Um et empêcher d’autres groupes de travailleurs de reprendre le travail avec le tarif initial. Les travailleurs manuels grévistes estiment que ceux qui continuent à travailler pour 500 Um la tonne sont essentiellement des étrangers. On ne sait pas si les travailleurs manuels interpellés ont été oui ou non relâchés. Des sources concordantes affairment que sept parmi eux seraient toujours entre les mains de la police.
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